Droits numériques

Des médias sont nés dans le sillon de ce mouvement de libération de la parole qui a endossé différents slogans à travers le monde, des rédactions ont repensé leurs pratiques, et des réseaux de journalistes se sont créés. Toutefois, enquêter sur les droits des femmes reste dangereux.

Bien que l’année 2023 ait enregistré une diminution du nombre d’assassinats de journalistes et des violences commises contre la presse lors des manifestations de rue, les alertes publiées sur la Plateforme pour la sécurité des journalistes montrent une diversité croissante de menaces, de pressions et de contraintes pesant sur les journalistes dans l’exercice de leur mission

Le rapport examine la pratique du ciblage en ligne par les forces de sécurité et ses conséquences considérables dans la vie réelle – notamment la détention arbitraire et la torture – dans cinq pays : l’Égypte, l’Irak, la Jordanie, le Liban et la Tunisie. Le résumé et recommandations en français.

Human Rights Watch documente une série de techniques qui, lorsqu’elles sont employées en combinaison, forment un écosystème de répression visant non seulement à museler les voix critiques, mais aussi à effrayer tous les détracteurs potentiels de l’État.

A l’occasion du 8 mars, RSF publie ce rapport qui révèle l’étendue des risques de violences sexistes et sexuelles auxquels sont confrontées les femmes journalistes, et leur impact sur l’information.

Par le biais ce guide, ARC entend proposer des recommandations concrètes ainsi qu’une panoplie complète d’outils pour aider les artistes à traverser, affronter et surmonter les menaces et les persécutions dont ils font l’objet.

Les gouvernements répressifs utilisent des mesures de censure et de surveillance numériques sophistiquées en plus de méthodes plus traditionnelles pour bâillonner les médias indépendants. Un rapport spécial du Comité pour la protection des journalistes.

Dans son nouveau rapport RSF révèle l’ampleur d’une nouvelle menace qui pèse sur les journalistes : le harcèlement via les réseaux sociaux.

Un projet de loi prévoit le blocage immédiat des sites Internet comportant des informations jugées “extrémistes” par le parquet. Parmi ces informations, au côté des incitations à la haine ou à des actes terroristes (déjà punies par la loi), figurent les appels à participer à des manifestations non autorisées.