Djibouti : “non, les journalistes de LVD ne sont pas des analphabètes de l’opposition” (RSF)
Les propos du président contre « La Voix de Djibouti », le seul média indépendant tenu par des journalistes djiboutiens, relèvent de la calomnie et ne visent qu’à détourner l’attention sur l’absence totale de liberté de la presse dans son pays, dénonce RSF.
Djibouti : le domicile du journaliste arrêté perquisitionné, son compte Facebook piraté
Les agissements du régime djiboutien contre ce journaliste sont d’une extrême gravité et témoignent de l’ampleur de la répression qui s’abat sur celles et ceux qui tentent de produire des informations indépendantes, déclare RSF.
Nouvelle arrestation d’un journaliste de « La Voix de Djibouti »
« Plus le régime djiboutien continuera de s’en prendre aux journalistes, plus les regards continueront de se porter sur ces pratiques répressives et sur cette actualité qu’il cherche de toute évidence à passer sous silence. »
Un journaliste pour la première radio libre de Djibouti est victime de harcèlement judiciaire
Reporters sans frontières est indignée par le harcèlement judiciaire dont est victime Maydaneh Abdallah Okieh, journaliste pour le site d’informations La Voix de Djibouti (LVD), première radio libre et critique de l’histoire du pays.
Un autre journaliste de la Voix de Djibouti arrêté
Mohamed Ibrahim Waiss a été arreté alors qu’il couvrait une manifestation organisé par Les mères de familles de Buldhuqo. Les femmes manifestaient pour demander au gouvernement de tenir ses promesses et de leur attribuer des parcelles de terrain à bâtir dans un autre quartier.
Un ancien journaliste incarcéré pour la deuxième fois en deux mois en Djibouti
Reporters sans frontières dénonce avec la dernière énergie la condamnation de Daher Ahmed Farah, le 2 juillet 2013, à deux mois de prison ferme à la prison centrale de Gabode, dans la ville de Djibouti.
Prison et lourdes amendes pour un collaborateur du site web djiboutien
Maydaneh Abdallah Okieh a été condamné à 45 jours de prison ferme, 2 000 000 de francs Djibouti (8 600 euros) de dommages et intérêts et 200 000 francs Djibouti (860 euros) d’amende pour des images de répression policière postées sur son compte Facebook.
Responsable technique du site web djiboutien emprisonné depuis 15 jours pour des images postées sur Facebook
Maydaneh Abdallah Okieh est reproché d’avoir posté sur son compte Facebook des images de manifestants de l’opposition victimes de répression policière. Il est accusé d’ »outrage à un officier de police » et de « diffamation de la police ».
Le journaliste Houssein Ahmed Farah enfin libéré en Djibouti
Houssein Ahmed Farah était incarcéré depuis le 11 août, à la prison centrale de Gabode, malgré un état de santé précaire et bien qu’aucune des charges retenues contre lui n’ait été prouvée.
Un correspondant d’un site d’informations arrêté et détenu au secret au Djibouti
Houssein Ahmed Farah a été arrêté le 8 août 2012 à Djibouti-ville par deux officiers de police, le colonel Abdoulkader Ibrahim Gona et le colonel Abdillahi Hassan Boulaleh.
RSF saisit le Rapporteur spécial des Nations unies sur la torture
L’organisation demande notamment au responsable onusien d’intervenir en urgence en faveur de Farah Abadid Hildid, collaborateur de La Voix de Djibouti.
Un journaliste gravement menacé et torturé pendant 24 heures
Farah Abadid Hildid avait déjà été arrêté et détenu à deux reprises en 2011, et avait à chaque fois subi des actes de torture et des mauvais traitements, ce qui avait été corroboré par des examens médicaux.
Les deux journalistes de « La Voix de Djibouti » en liberté provisoire après quatre jours de détention et de sévices
Farah Abadid Hildid et Houssein Robleh Dabar ont été inculpés pour « mobilisation illégale » et « outrage à chef d’État ».
Inquiétudes autour de la nouvelle arrestation de deux correspondants de « la Voix de Djibouti »
Farah Abadib Hildid et Houssein Robleh Dabar aurait été arrêtés dans le but de prévenir l’éventuelle publicité par leur radio d’un tract appelant à un rassemblement lors d’une journée intitulée « Journée de la colère ».