Maroc : Taoufik Bouachrine, Omar Radi et Soulaimane Raissouni enfin libres !
Les journalistes Bouachrine, Radi et Raissouni ont été libérés en vertu d’une grâce royale prononcée ce 29 juillet; une grâce qui met également fin au calvaire judiciaire de cinq autres journalistes.
Maroc : la cour de cassation rejette les pourvois en cassation d’Omar Radi et de Soulaimane Raissouni
Reporters sans frontières (RSF) regrette cette décision, et appelle les autorités marocaines à saisir l’opportunité de la fête du trône pour mettre fin au calvaire judiciaire vécu par les deux journalistes et leurs familles depuis le début de l’année 2022.
Des ONG réitèrent leur appel aux autorités marocaines pour qu’elles mettent fin à la persécution de Taoufik Bouachrine et d’autres journalistes critiques
Des organisations de défense des droits humains exhortent les autorités marocaines à ne pas contester les recommandations du Parlement européen, appelant à la protection de la liberté d’expression, mais plutôt à agir en conséquence pour libérer tous les journalistes injustement emprisonnés qui passent des années en détention sous de fausses accusations.
RSF se félicite de la fin du silence du Parlement européen sur le Maroc
« Avec cette résolution historique, le Parlement européen met fin à une fâcheuse tendance qui consiste à exempter le Maroc de toute remarque sur les atteintes à la liberté de la presse et aux droits humains » – RSF.
Maroc : Un « manuel » pour déguiser la répression des opposants
Les autorités marocaines emploient des mesures indirectes et sournoises pour réduire les activistes et journalistes indépendants au silence.
Maroc : la grève de la faim, l’ultime recours des journalistes confrontés à une justice arbitraire
Détenus provisoirement depuis des mois, deux journalistes marocains, Omar Radi et Suleiman Raissouni, observent actuellement une grève de la faim pour demander leur libération.
Lettre ouverte de 15 ONG exhortant l’Union européenne à intervenir pour la libération de Maâti Monjib
Le cas de Maâti Monjib témoigne de la répression croissante, ces dix dernières années, des voix critiques et indépendantes au Maroc.
Des associations tunisiennes condamnent l’arrestation de Slimane Raïssouni, rédacteur en chef du journal indépendant Akhbar Al Yaoum
Des associations tunisiennes exigent des autorités marocaines qu’elles libèrent Raïssouni et qu’elles mettent un terme à la criminalisation de la liberté d’expression et de la liberté de de presse.
Maroc : Campagne de répression contre les utilisateurs de réseaux sociaux
Depuis septembre 2019, les autorités marocaines ont arrêté et poursuivi au moins 10 activistes, artistes ou autres citoyens qui n’ont fait qu’exprimer pacifiquement des opinions critiques sur Facebook, YouTube ou via des chansons de rap.
Comment les médias pro-gouvernementaux du Maroc utilisent les « fake news » pour cibler et faire taire les militants rifains
Le harcèlement ciblé des militants du Hirak est une preuve supplémentaire que si l’internet peut fournir une plateforme aux marginalisés, il peut aussi faciliter leur persécution.
Maroc : quatre journalistes condamnés à six mois de prison avec sursis
RSF dénonce la condamnation absurde de quatre journalistes marocains à six mois de prison avec sursis et dix mille dirhams d’amende suite à la publication des débats d’une commission d’enquête parlementaire consacrés au déficit de la Caisse marocaine des retraites.
Douze ans de prison ferme contre Taoufik Bouachrine : RSF dénonce un verdict entaché de doute
Cette affaire semble démontrer une volonté d’acharnement judiciaire contre un journaliste dont l’activité professionnelle lui a déjà valu de nombreux démêlés avec les autorités, déclare RSF.
Procès du Hirak: les détenus maltraités en prison
Un journaliste et cinq journalistes-citoyens ou collaborateurs des médias font partie des personnes poursuivies dans le cadre du procès du Hirak de Casablanca.
Les journalistes marocains continuent à couvrir le mouvement Hirak en bravant l’intimidation par les autorités
Un an après le début des manifestations d’Al Hoceima, dans le Nord du Maroc, les médias du pays affrontent toujours les intimidations et les menaces judiciaires du pouvoir marocain pour couvrir la contestation.