Articles par Human Rights Watch
![Democratic Republic of Congo’s Justice Minister Alexis Thambwe, REUTERS/Jessica Rinaldi](https://ifex.org/wp-content/uploads/2019/03/congolese_justice_minister_rt.jpg)
Le gouvernement de la RD Congo annonce que quatre activistes seront libérés
Le ministre de la Justice de la République démocratique du Congo, Alexis Thambwe, a annoncé vendredi en conférence de presse que certains des prisonniers politiques du pays seraient libérés. Il a également déclaré que l’interdiction de deux médias proches de l’opposition serait levée, dans le cadre d’un effort visant à « décrisper » les tensions politiques dans le pays.
![Ida Sawyer, Senior Africa Researcher at Human Rights Watch, © 2012 Human Rights Watch](https://ifex.org/wp-content/uploads/2019/03/drc_hrw_ida_sawyer.jpg)
RDC : Une chercheuse de Human Rights Watch écartée
« Il ne s’agit là pas uniquement de forcer Ida Sawyer à quitter la République démocratique du Congo, mais d’une tentative effrontée d’étouffer les rapports sur la répression violente perpétrée par le gouvernement contre les partisans de la limitation des mandats présidentiels ».
![A suspect is handcuffed and detained by policemen after a grenade attack of Burundi's capital Bujumbura, 3 February 2016, REUTERS/Jean Pierre Aime Harerimama](https://ifex.org/wp-content/uploads/2019/03/burundi_handcuff_7july2016_reuters.jpg)
Burundi : Des agents du Service national de renseignement ont torturé des opposants présumés
Des agents du SNR ont affirmé à certains détenus qu’ils seraient tués s’ils parlaient de la façon dont ils avaient été traités et ont ordonné à d’autres de mentir ou leur ont fait promettre de ne pas parler à des organisations de défense des droits humains.
![Reliez à:Algérie : Condamné à une peine de prison pour avoir critiqué une décision de justice](https://ifex.org/wp-content/themes/ifex/assets/images/placeholder.png)
Algérie : Condamné à une peine de prison pour avoir critiqué une décision de justice
Belkacem Khencha, coordinateur national de la Ligue algérienne de défense du droit au travail, y critiquait la décision du tribunal de première instance de la ville de Laghouat de condamner son collègue à 18 mois de prison pour avoir mené des protestations pacifiques. Le même tribunal a condamné Khencha pour ses propos.
![Screen grab of Zouleikha Belarbi's Facebook post , Screenshot/Facebook/Zouleikha Belarbi](https://ifex.org/wp-content/uploads/2019/03/facebookpost.jpg)
Algérie : Poursuivie au pénal pour une caricature
Une militante a été condamnée à une amende pour une publication sur Facebook.
![Maati Monjib (centre L), one of seven journalists and writers on trial for charges of “undermining state security”, and his supporters participates in a demonstration near the Moroccan Human Rights Association in Rabat October 28, 2015, REUTERS/Stringer](https://ifex.org/wp-content/uploads/2019/03/morocco_hr_association_rt.jpg)
Déclin de la tolérance à l’égard des voix critiques au Maroc
Les autorités ont interdit des événements organisés par l’Association Marocaine des Droits Humains (AMDH), une association exprimant ouvertement ses critiques, ont mis cinq activistes en accusation pour « atteinte à la sûreté intérieure » après qu’ils ont organisé un atelier bénéficiant d’un financement étranger sur le journalisme citoyen, et ont systématiquement interdit les manifestations des activistes pro-indépendance au Sahara occidental.
![Shams - LGBT rights group in Tunis](https://ifex.org/wp-content/uploads/2019/03/shamslgbttunis.jpg)
Tunisie: Suspension d’un groupe LGBT
La décision des autorités tunisiennes de suspendre les activités du groupe de défense des droits LGBT Shams représente un recul des libertés individuelles et de l’égalité des droits en Tunisie. Shams milite en faveur des droits des minorités sexuelles.
![French police officers patrol at La Defense business district near Paris, 25 November 2015, REUTERS/Christian Hartmann](https://ifex.org/wp-content/uploads/2019/03/france_police_ladefense_25november2015_reuters.jpg)
France : Les pouvoirs liés à l’état d’urgence risquent de porter atteinte aux droits humains
Les pouvoirs exceptionnels élargis permettent au gouvernement d’imposer l’assignation à résidence sans l’autorisation d’un juge, de procéder à des fouilles sans mandat judiciaire, de saisir tous les fichiers informatiques qu’il juge pertinents, et de bloquer les sites web considérés comme glorifiant le terrorisme sans autorisation judiciaire préalable.