Reporters sans frontières (RSF)

« Une société qui ne garantit pas des conditions libres et sûres pour l’exercice du journalisme, la défense des droits fondamentaux et de ses peuples originaires, est condamnée, en niant son passé, à l’échec dans la construction de son avenir » – RSF.

La loi s’applique désormais à “tout individu” « soupçonné » de porter atteinte à la sécurité nationale de la Chine, soit même en dehors du territoire et quelle que soit sa nationalité.

Dans son article 28, la loi dispose que les médias sont “la propriété socialiste du peuple tout entier ou d’organisations politiques, sociales et de masse, et ne peuvent faire l’objet d’aucun autre type de propriété”.

« Pour ne pas laisser ce crime rejoindre la longue liste des meurtres impunis de journalistes au Mexique, nous demandons au parquet de l]État de Puebla de mener une enquête rapide et transparente pour déterminer si l’homicide est lié à son activité de fonctionnaire municipal, ou à son exercice du journalisme. »

Reporters sans frontières (RSF) dénonce une condamnation sans précédent dans le pays et réaffirme sa totale solidarité avec le journaliste.

Lors de la clôture du sommet qui s’est tenu à Hiroshima, les dirigeants du G7 ont fait part dans leur déclaration finale de leur priorité à « garantir la promotion des informations factuelles, fiables et de qualité ».

Les ravisseurs qui ont brutalement agressé le journaliste Deogratias Dhessaba en cas d’erreur d’identité, constituent toujours une menace pour leur cible.

Parmi les signataires figurent des directeurs de publication et des rédacteurs en chef de 42 pays, dont deux lauréats du prix Nobel de la paix.