La peine de mort requise contre le correspondant de RFI au Cameroun
Le reporter Ahmed Abba est poursuivi pour «non-dénonciation d’actes de terrorisme, apologie ». Après un réquisitoire expéditif, le procureur a choqué la salle d’audience en requérant la peine de mort, sans avoir reconnu préalablement sa culpabilité.
Les autorités camerounaises s’acharnent sur les journalistes professionnels
« Dans un pays où la presse se rend souvent responsable de reportages approximatifs, c’est un comble que ces journalistes se retrouvent poursuivis pour avoir agi avec professionnalisme, vérifié des faits et décidé de ne pas publier une information partielle. »
Cameroun : Trois journalistes incarcérés pour diffamation
« L’emprisonnement d’un journaliste pour diffamation porte non seulement atteinte à ses droits, mais également à la liberté de l’information en général, en raison de l’autocensure que de telles mesures entraînent. »
Le véhicule d’un journaliste camerounais détruit dans une explosion
Nous sommes alarmés par l’explosion au domicile de Denis Nkwebo, qui avait fait des reportages sur une question sensible d’intérêt public: la prestation des forces de sécurité du Cameroun », déclare Mohamed Keita, coordonnateur du Plaidoyer pour l’Afrique du CPJ.
Le climat médiatique se durcit au fil des convocations et des suspensions au Cameroun
Reporters sans frontières s’inquiète de l’attitude de plus en plus intransigeante du Conseil National de la Communication (CNC), présidé par Monseigneur Joseph Befe Ateba.
Cameroun : Un représentant du gouvernement rend un militant LGBTI responsable de son propre meurtre
L’ambassadeur du Cameroun auprès des Nations Unies à Genève, Anatole Nkou, a affirmé au Conseil des droits de l’homme de l’ONU, le 20 septembre 2013, qu’un militant camerounais des droits humains récemment assassiné avait été tué à cause de sa » vie personnelle « .
Caricaturiste emprisonné dans une affaire de « diffamation » au Cameroun
Caricaturiste et journaliste Charles Fils Elangue est détenu depuis six jours sous réserve du paiement des amendes. Il est accusé de « diffamation » pour un article publié sur le site Internet Kawalai.
Au Cameroun, des émissions de radio et de télé suspendus
Dans une vague de censure, le Cameroun a indéfiniment suspendu deux émissions de télévision, ainsi que trois émissions de radio. Ces mesures incluent également la suspension d’au moins sept journalistes.
Au Cameroun, des émissions de radio et de télé suspendus
Dans une vague de censure, le Cameroun a indéfiniment suspendu deux émissions de télévision, ainsi que trois émissions de radio. Ces mesures incluent également la suspension d’au moins sept journalistes.
Au Cameroun, un journaliste emprisonné pour diffamation
Jean-Marie Tchatchouang a été condamné à deux mois de prison après avoir publié des articles sur des allégations de détournement des fonds par le président-directeur général d’une compagnie de bus.
Peines de prison contre journalistes accusés d’avoir imité une signature au Cameroun
Simon Hervé Nko’o a été condamné à quinze ans de prison ferme, tandis que Serge Sabouang et Robert Mintya ont écopé chacun de deux ans de prison avec sursis. Les hommes sont accusés d’avoir imité la signature du secrétaire général à la présidence.
Un rapport condamne les menaces sur la liberté d’expression au Cameroun
La liberté d’expression est en danger au Cameroun, selon un rapport remis aujourd’hui au Conseil des droits de l’homme des Nations Unies par PEN International, Committee to Protect Journalists, et Internet Sans Frontières.
Toutes les charges retenues contre l’écrivain Enoh Meyomesse abandonnées, il est toujours en prison et menacé de cécité
Malgré l’abandon de l’ensemble des charges, Meyomesse est détenu à la prison surpeuplée de Kondengui à Yaoundé.
Les accusations de tentative de coup d’état contre un écrivain sont retirées
Enoh Meyomesse doit encore répondre à des accusations de vol à main armée devant un tribunal militaire.
Un écrivain détenu fait face à une peine de 50 ans de prison
Meyomesse réfute toutes les accusations portées contre lui et maintient qu’il est détenu en raison des opinions exprimées dans ses écrits et pour son militantisme politique.
Suite à sa visite au pays, RSF demande au gouvernement de s’engager à défendre la liberté de la presse
RSF fait appel au gouvernement pour améliorer la liberté de la presse, mettant l’accent sur l’adoption d’une nouvelle loi sur les médias et la dépénalisation des délits de presse.