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Ce guide résume les préoccupations de Human Rights Watch quant à la préparation et la tenue de la Coupe du monde de la FIFA 2022, et souligne des problématiques plus larges en matière de protection des droits humains dans le pays

En souscrivant aux dix engagements listés dans l’Appel et en appelant leurs collègues à les mettre en œuvre, les procureurs signataires, marquent leur détermination à préserver l’indépendance et l’impartialité de leurs enquêtes, à protéger les journalistes et à collaborer avec leurs homologues étrangers.

Dans près de 80 % des 263 cas de journalistes assassinés en représailles à leur travail dans le monde au cours des dix dernières années, les auteurs sont restés impunis. La Somalie demeure le pire contrevenant pour la huitième année consécutive. La Syrie, le Soudan du Sud, l’Afghanistan et l’Irak, respectivement, complètent la liste des cinq premiers pays de l’indice du CPJ.

« Hier, les plus grandes fortunes du monde achetaient des médias, aujourd’hui les nouveaux milliardaires veulent faire main basse sur les réseaux sociaux. Pourquoi veulent-ils posséder ces plateformes ? Va-t-on laisser une nouvelle génération de milliardaires planter son drapeau sur Internet sans réagir ? » – RSF

« Twitter est utilisé quotidiennement par plus de 230 millions d’utilisateurs, et les documents produits par le Washington Post affirment que la plateforme lutte contre la désinformation avec des moyens faibles et une organisation chaotique. »

L’affaire concerne le génocide présumé que les autorités du Myanmar auraient perpétré contre la population ethnique Rohingya dans l’État de Rakhine, en particulier dans le cadre des opérations militaires lancées en octobre 2016 et août 2017.

L’ouverture d’une information judiciaire par la section « cyber » du parquet de Paris fait suite à une série de plaintes déposées en France depuis un an, notamment par RSF qui a saisi le parquet de Paris de quatre plaintes aux côtés de 25 journalistes originaires de dix pays.

Clément Nyaletsossi Voule a publié un rapport qui intègre bon nombre des questions soulevées par IFEX dans sa contribution et présente un ensemble de recommandations solides pour protéger la capacité de la société civile à réaliser son important travail.

« Les grandes plateformes se montrent plus innovantes quand il s’agit de défendre leurs intérêts économiques que pour lutter contre la désinformation. En s’engageant dans la voie tracée par TikTok, Mark Zuckerberg acte le passage à une nouvelle ère de prospérité pour la désinformation. »

Le Classement mondial de la liberté de la presse démontre en 2022 les effets désastreux du chaos informationnel (un espace numérique globalisé et dérégulé, qui favorise les fausses informations et la propagande).

Nous devons valoriser et soutenir l’indispensable travail des journalistes qui luttent contre la mésinformation et la désinformation qui inondent nos canaux de communication, en particulier pendant les crises, les conflits et les élections. La bonne nouvelle est que lorsque les médias et la société civile travaillent ensemble, ils créent un meilleur climat d’information et un espace civique plus sain pour nous tous.

Aujourd’hui, ARTICLE 19 et IFEX lancent la première d’une série de fiches de plaidoyer, consacrée à la sécurité des journalistes (#SécuritéDesJournalistes). Des outils de plaidoyer complets mais faciles à utiliser pour les défenseurs de la liberté des médias et de la sécurité des journalistes.

En recommandant l’approbation de la participation des organisations non gouvernementales à une série d’organes et de processus des Nations Unies, le Comité chargé des ONG joue un rôle clé dans la facilitation de ces partenariats.

Cette hausse exceptionnelle du nombre de détentions arbitraires est principalement le fait de trois pays : Myanmar, où la junte a repris le pouvoir par la force le 1er février 2021 ; le Bélarus, qui a sombré dans la répression après la réélection contestée d’Alexandre Loukachenko en août 2020 ; et la Chine de Xi Jinping, qui accroît sa mainmise sur la région administrative spéciale de Hong Kong.

Le recensement du CPJ de 2021 a révélé que le nombre de journalistes emprisonnés en raison de leur travail a atteint un nouveau record mondial de 293, contre un total révisé de 280 en 2020. Cette année, au moins 24 journalistes ont été tués à ce jour pour avoir couvert l’actualité ; 18 autres sont morts dans des circonstances trop troubles pour pouvoir déterminer s’ils étaient spécifiquement visés.

C’est grâce au travail des journalistes que les crimes de la surveillance étatique ont été révélés pour la première fois. Maintenant, ils font à leur tour partie des personnes espionnées et traquées.