Articles par Fondation pour les Médias en Afrique de l’Ouest

Caméraman battu par des gendarmes en Guinée
Boubacar Camara, un caméraman travaillant avec la Télévision Gnagna en Guinée, a été la cible de coup de bastonnade de la part d’un groupe de gendarmes et de policiers qui l’ont repéré en train de filmer leurs actes de brutalité sur les personnes engagées dans un litige foncier.

La liberté des médias menacée en Côte d’Ivoire
Ce nouveau projet de loi est considéré comme une régression majeure par rapport aux acquis réalisés par rapport à la liberté d’expression ainsi que les processus démocratiques post-conflit en cours.

Fondation des médias parle avec Adama Barrow sur la liberté de presse en Gambie
Une délégation de la MFWA a rencontré le Président de la Gambie pour parler sur la liberté de la presse dans le pays. La délégation a aussi rencontré la famille de Chief Ebrima Manneh, une victime de disparition forcée en 2006.

Afrique de l’Ouest: 30 professionnels des médias arrêtés en 38 jours
Les 30 victimes; composés de 15 journalistes et 15 techniciens ont été arrêtés, détenues et/agressées dans 10 incidents différents dans quatre pays, à savoir; le Nigeria, la Côte d’Ivoire, la Guinée et le Togo.

Journalistes détenus pour une publication sur la révolte des soldats ivoiriens ont été libérés
Les six journalistes restent cependant, sous « les charges d’atteinte à la sécurité de l’État et incitation des soldats aux actes de révolte ».

Janvier en Afrique de l’Ouest: Nouvelle ère en Gambie, répression massive au Nigeria, médias fermés au Bénin
En janvier 2017, un nombre important de faits relatifs à la liberté d’expression ont été constatés – de la transition en La Gambie qui a fait partir le Roi de l’Impunité, en passant par la répression des journalistes par les forces de sécurité nigériennes, à la levée des sanctions contre des medias au Bénin.

La liberté d’expression en ligne assiégée en Tanzanie
Le 14 septembre, cinq internautes Tanzaniens ont été assignés à comparaitre devant un tribunal sous l’accusation d’avoir insulté le président John Magufuli sur les medias sociaux.

AFEX décrie la brutalité de la police contre des manifestants en RDC
Le gouvernement a indiqué que le nombre de morts est de 32 dont 3 policiers, mais avertit que les chiffres pourraient augmenter. Les politiciens de l’opposition cependant estiment le bilan à plus de 50 morts.