Articles par Fondation pour les Médias en Afrique de l’Ouest
Un journaliste agressé par la police pour avoir couvert des brutalités policières
Victor Kwawukume a souligné que sans l’intervention d’un agent de police, ses agresseurs l’auraient tapé impitoyablement.
Un journal proche de l’opposition est suspendu
La décision de l’instance de régulation ferait suite à la parution d’un article qui, aux yeux de l’instance de régulation, constitue une dénaturation des faits.
Une centaine d’organisations demandent la fin de l’assaut contre la liberté de parole, ainsi que la libération de tous les défenseurs des droits de la personne et net-citoyens
Nabeel Rajab a été libéré sous caution le 28 mai 2012, mais il a été arrêté à nouveau. De nombreux autres défenseurs des droits de la personne demeurent en prison, incluant le fondateur du BCHR, Abdulhadi Al-Khawaja. Al-Khawaja a annoncé la fin de sa grève de la faim, après 110 jours.
Les journalistes accusent les autorités militaires de mettre leurs téléphones sur écoute
Les journalistes accusent les autorités militaires de la mise sur écoute illégale de leurs téléphones comme moyen de faire taire l’opinion critique dans le pays.
Des étudiants vandalisent la Radio Kayira
La Police à Bamako a déjoué une tentative d’incendie de la Radio Kayira, une station de radio privée.
Un journaliste agressé par des forces de sécurité
Noël Kokou Tadégnon a été agressé au moment où il filmait une manifestation d’une coalition d’activistes politiques et de la société civile à l’occasion de la célébration du 52ème anniversaire de l’indépendance du pays.
La MFWA salue les journalistes à l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse
La MFWA est soucieuse des expériences extrêmement pénibles vécues par les défenseurs des droits humains dans les pays comme la Guinée-Bissau et le Mali qui ont eu à s’acquitter de leurs fonctions dans des conditions difficiles imposées par les coups d’état survenus récemment dans ces deux pays.
La junte militaire impose un black-out aux médias du pays
Le jour du coup d’État, les putschistes ont contraint tous les médias du pays à fermer.