Articles par Fondation pour les Médias en Afrique de l’Ouest
Journaliste pro-Gbagbo kidnappé, puis relaché
Le journaliste écrivain Serge Grah fut enlevé par six hommes armés cencés être des éléments des Forces Républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI), loyales au président Alassane Ouattara.
Un ancien ministre porté disparu après son arrestation par des agents de sécurité
Amadou Janneh, qui a récemment critiqué les disparitions et les attaques perpétrées contre les médias, a été arrêté par des agents de sécurité en tenue civile dans son bureau de Serrekunda.
Des militaires investissent les locaux d’un journal et menacent le directeur de publication alors que la sécurité présidentielle agresse un journaliste et détruit son équipement
L’action menée par les militaires a fait suite à la publication d’un article indiquant que le président Condé aurait accordé aux militaires une augmentation de salaire de 100%.
Un journaliste ivoirien détenu par la police
Gooré Bi Hué s’était rendu au camp des refugiés ivoiriens à Elubo, une ville frontalière ghanéenne, pour faire un reportage quand il a été agressé et détenu pas la police locale.
Animateur de radio suspendu après sa participation dans une réunion politique
La suspension de Sam K. Le Jah coïncide avec sa participation dans une assemblée organisée par un parti de l’opposition qui a demandé la démission du Président Campaoré le même jour.
Quatre avocats placés sur la liste noire au sujet d’allégations de corruption contre la magistrature
Raymond Atuguba, David Annan, Abraham Amaliba et Larry Bimi ont ajouté foi aux conclusions de plusieurs activités de recherche qui ont conclu que la magistrature est l’une des institutions les plus corrompues du pays.
Une journaliste de la radio harcelée et empêchée de faire son travail
Ces derniers mois, il y a eu beaucoup de cas d’ingérence de la part des éléments de la sécurité dans le reportage des questions impliquant les agences de sécurité par les journalistes, d’après MFWA.
Des incendiaires mettent le feu à une imprimerie pro-Gbagbo
L’attaque s’est produite malgré que la direction de la Refondation a conclu un accord avec des éléments des Forces Républicaines pour assurer la protection des locaux de la société.