Corée du Sud : RSF s’alarme des manifestations d’hostilité du président envers un média public

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RSF réclame la libération d’un journaliste sud-coréen emprisonné pour avoir refusé d’identifier une source

Woo Jong-chang a été condamné pour diffamation pour avoir refusé de divulguer l’identité d’une source qu’il citait dans une vidéo YouTube laissant entendre que la destitution de l’ancienne présidente sud-coréenne Park Geun-hye, en 2017, était le résultat d’un complot.

A volunteer, assisting family members of missing passengers onboard the capsized Sewol ferry, looks at yellow ribbons dedicated to victims of the disaster in Jindo, 27 April 2014, REUTERS/Kim Kyung-Hoon

Un correspondant japonais accusé de diffamation envers la présidente sud-coréenne

Tatsuya Kato, journaliste correspondant en Corée du Sud pour le journal japonais « Sankei Shimbun » est poursuivi en diffamation suite à la publication d’un article s’interrogeant sur les faits et gestes de la présidente sud-coréenne Park Geun-hye, lors du naufrage du ferry Sewol, le 16 avril 2014.

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