(JED/IFEX) – La Cour d’ordre militaire (COM), siégeant le 30 août 2000 à Kinshasa, a annoncé qu’il y a opportunité maintenant de répondre incessamment à la requête de mise en liberté provisoire de Emile-Aimé Kakese Vinalu (éditeur du journal « Le Carrousel ») et Jean-Pierre Ekanga Mukuna (éditeur du journal « La Tribune de la Nation »). La mise […]
(JED/IFEX) – La Cour d’ordre militaire (COM), siégeant le 30 août 2000 à Kinshasa, a annoncé qu’il y a opportunité maintenant de répondre incessamment à la requête de mise en liberté provisoire de Emile-Aimé Kakese Vinalu (éditeur du journal « Le Carrousel ») et Jean-Pierre Ekanga Mukuna (éditeur du journal « La Tribune de la Nation »). La mise en liberté provisoire de ces deux journalistes, incarcérés au Centre pénitentiaire et de rééducation de Kinshasa (CPRK, ex-Prison centrale de Makala), avait été sollicitée par leurs avocats à l’audience du lundi 28 août.
Le 30 août, la COM a décidé du renvoi de l’affaire au 2 septembre, en raison de l’absence à la barre de Mbelelo Bitueni (ancien président-directeur général de l’Office national des transports, ONATRA), Mankenda Voka (éditeur du quotidien « L’Observateur ») et Pius Muabilu Mbayu Mukala (éditeur du quotidien « L’Avenir »). Ces derniers ont été cités comme témoins à décharge par Katako Okende, époux du ministre des Transports et communications, co-accusé des trois journalistes.
