(RSF/IFEX) – Ali Abdallah, 52 ans, militant des droits de l’homme et collaborateur occasionnel du journal émirati « Al-Khalij », et des médias libanais « Assafir » et « An-Nahar », et son fils Mohammad Abdallah, 22 ans, étudiant, ont été libérés le 4 octobre 2006, au terme d’une peine de six mois d’emprisonnement. Ils avaient été condamnés pour avoir « dénoncé […]
(RSF/IFEX) – Ali Abdallah, 52 ans, militant des droits de l’homme et collaborateur occasionnel du journal émirati « Al-Khalij », et des médias libanais « Assafir » et « An-Nahar », et son fils Mohammad Abdallah, 22 ans, étudiant, ont été libérés le 4 octobre 2006, au terme d’une peine de six mois d’emprisonnement. Ils avaient été condamnés pour avoir « dénoncé les lois d’état d’urgence », en vigueur depuis 1963, et « insulté le président de la Cour de sûreté de l’Etat », a annoncé leur avocat Khalil Maatouk.