La Fédération internationale des journalistes (FIJ) et la Fondation pour la liberté de la presse (Fundacion para libertad de prensa, FLIP) attirent lâattention sur la sécurité des journalistes en Colombie la semaine dernière, et exigent la fin des assassinats et des agressions qui font de la Colombie lâun des pays les plus dangereux pour les […]
La Fédération internationale des journalistes (FIJ) et la Fondation pour la liberté de la presse (Fundacion para libertad de prensa, FLIP) attirent lâattention sur la sécurité des journalistes en Colombie la semaine dernière, et exigent la fin des assassinats et des agressions qui font de la Colombie lâun des pays les plus dangereux pour les journalistes.
Aux cris de « Plus de journalistes victimes du conflit armé et de la corruption » et « Nous ne sommes pas la cible, nous sommes le fondement de la démocratie », les groupes ont lancé une campagne le 9 février, Journée nationale des journalistes de la Colombie, pour appeler les deux parties du conflit armé à cesser de viser la presse.
Les activités comprennent un forum sur la sécurité des journalistes et la production dâune émission de télévision portant sur les violations de la liberté de la presse et de la libre expression dans le pays. On trouvera des précisions sur la campagne à : www.ifj.org. »>http://www.ifj.org/regions/latam/colombia.html »>www.ifj.org.
LâInstitut pour la presse et la société (Instituto prensa y sociedad, IPYS) a aussi marqué lâoccasion en publiant une édition spéciale de son bulletin hebdomadaire « Interprensa ».
Lâédition (en espagnol) présente un rapport récent sur la liberté de la presse en Colombie (www.ipyspe.org.pe) et les constatations de la mission dâétude de décembre 2002 sur la liberté de la presse à Arauca, lâune des régions les plus violentes du pays. La mission était composée de représentants de la FLIP, de lâIPYS, de Reporters sans frontières (RSF) et de la Société interam%26#233;ricaine de la presse (SIP). »>http://www.ipyspe.org.pe/informes/colombia.htm »>www.ipyspe.org.pe) et les constatations de la mission dâétude de décembre 2002 sur la liberté de la presse à Arauca, lâune des régions les plus violentes du pays. La mission était composée de représentants de la FLIP, de lâIPYS, de Reporters sans frontières (RSF) et de la Société interaméricaine de la presse (SIP).
En mars, plusieurs membres de lâIFEX se réuniront à Bogotá afin de sâattaquer au problème des agressions contre les journalistes et de lâimpunité en Colombie. Organisée à lâinitiative du Rapporteur spécial de lâOrganisation des Ãtats américains (OEA) pour la liberté dâexpression et une coalition dâorganisations colombiennes, dont la FLIP, la conférence aura lieu les 19 et 20 mars et se concentrera sur les stratégies et les mesures pour corriger ces problèmes.
Les membres de lâIFEX qui vont participer à la conférence comprennent lâIPYS, Reporters sans frontières (RSF), le Comité pour la protection des journalistes (CPJ) et Journalistes contre la corruption (Periodistas Frente a la corrupcion, PFC). Pour plus de renseignements sur la conférence, communiquer à pan@fescol.org.co. »>mailto:pan@fescol.org.co »>pan@fescol.org.co.
Consulter les sites suivants :
– Rapport sur la liberté de la presse à Arauca : www.rsf.org« >http://www.rsf.org/article.php3?id_article=4595 »>www.rsf.org
– Rapporteur de lâOEA : www.cidh.oas.org« >http://www.cidh.oas.org/Relatoria/default.htm »>www.cidh.oas.org
– Comité pour la protection des journalistes :
www.cpj.org « >http://www.cpj.org/Briefings/2001/Colombia_sep01/Colombia_sep01.html »>www.cpj.org
– IPYS : www.ipyspe.org.pe« >http://www.ipyspe.org.pe »>www.ipyspe.org.pe
– Media for Peace : www.mediosparalapaz.org