Les violations des droits fondamentaux à la liberté d?association et d?assemblée sont répandues dans toute l?Afrique, soutient ARTICLE 19 dans un nouveau rapport. Les violations se poursuivent malgré que les libertés d?association et d?assemblée soient enchâssées dans les diverses constitutions de la plupart des pays d?Afrique. « Sans le plein exercice de ces droits, la liberté […]
Les violations des droits fondamentaux à la liberté d?association et d?assemblée sont répandues dans toute l?Afrique, soutient ARTICLE 19 dans un nouveau rapport.
Les violations se poursuivent malgré que les libertés d?association et d?assemblée soient enchâssées dans les diverses constitutions de la plupart des pays d?Afrique. « Sans le plein exercice de ces droits, la liberté d?expression elle-même ne saurait être garantie », dit ARTICLE 19.
Cela est particulièrement le cas en Afrique, où la majorité de la population n?a accès ni aux journaux, ni à la radio, ni à la télévision, ni à l?Internet, et pour qui la communication face à face demeure le principal moyen de transmission des idées et des informations. Intitulé « Freedom of Association and Assembly: Unions, NGOs and Political Freedom in sub-Saharan Africa » [Liberté d?association et d?assemblée : Syndicats, ONG et liberté politique en Afrique sub-saharienne], le rapport se concentre sur l?Afrique du Sud, le Cameroun, le Ghana, la Tanzanie et le Zimbabwe.
On peut y accéder en se rendant sur
http://www.article19.org/docimages/986.htm.