Le journaliste pigiste bengali Saleem Samad a été remis en liberté après avoir été détenu pendant 50 jours, rapportent le Comité pour la protection des journalistes (CPJ), Reporters sans frontières (RSF) et la Fédération internationale des journalistes (FIJ). Libéré le 18 janvier, Samad dit avoir été torturé pendant quâil était en garde à vue. Samad […]
Le journaliste pigiste bengali Saleem Samad a été remis en liberté après avoir été détenu pendant 50 jours, rapportent le Comité pour la protection des journalistes (CPJ), Reporters sans frontières (RSF) et la Fédération internationale des journalistes (FIJ).
Libéré le 18 janvier, Samad dit avoir été torturé pendant quâil était en garde à vue. Samad avait été arrêté le 29 novembre pour avoir prêté assistance à une équipe de la télévision britannique qui préparait le tournage dâun documentaire sur le Bangladesh, rappelle le CPJ.
Les autorités bengalaises ont accusé Samad et les journalistes Priscilla Raj, Zaiba Malik et Bruno Sorrentino de sédition mettant en cause « des activités clandestines comme journalistes, avec lâintention apparente et malicieuse de décrire le Bangladesh comme un pays islamique fanatique ».
Après un tollé de protestations internationales, Malik et Sorrentino ont été libérés et déportés le 11 décembre, puis Raj lâa été le 23 décembre.
Consulter les sites suivants :
– Rapport de RSF sur le Bangladesh : www.rsf.org« >http://www.rsf.org/article.php3?id_article=2617 »>www.rsf.org
– CPJ : www.cpj.org« >http://www.cpj.org/news/2003/Bangla21jan03na.html »>www.cpj.org
– FIJ : www.ifj.org« >http://www.ifj.org/publications/press/pr/030115bangladesh.html »>www.ifj.org